Au sortir de l'église nous découvrons ce Christ en jupon, taillé dans le granit et datant de 1730.

Ce “jupon” pourrait évoquer le vêtement habituel des crucifiés à l’époque romane.

Ne pas omettre un petit tour au cimetière pour y admirer la chapelle funéraire (ancienne lanterne des morts),   la croix hosannière et de remarquables tombes anciennes en granite avec tables surélevées.

Point de légendes de rocher magique ou de sorcier !

Quoi que...

Visite au site magdalenien d'Angles sur Anglin

A voir absolument et je vous conseille la visite guidée fort passionnante même pour ceux qui ne sont pas des spécialistes de cette époque historique.

Au hasard des chemins de traverse du retour, nous nous arrêterons devant une peinture de Jeanne  aperçue sur la façade d'une drôle de maison.

Elle est un élément d'une fresque  peinte par Armand Langlois sur les murs d'un Chalet de chasseurs.

Elle est juste a côté de la maison des écrivains et de la littérature, un  lieu de ressource, d'information et de documentation où  la littérature contemporaine et patrimoniale est promotionnée à travers des rencontres et actions culturelles.

Cet arrêt inopiné nous offre la découverte d'une bien jolie église, du 12 ème siècle, malheureusement close.

Le village s'appelle Chanceaux-près-Loches, il est non loin de Dolus le sec et c'est là que que vous emmène pour une autre découverte peu banale !

Le parc de Richelieu, d’une superficie de 475 ha, ceint de murs, abritait le vaste domaine du Cardinal dont subsistent aujourd’hui quelques vestiges : un des dômes de l’avant-cour, l’orangerie, les caves et tout le tracé des canaux.

 Plus de traces du château.

Le domaine est mis en vente et racheté en 1805 par un marchand de biens qui le revend pierre par pierre. Le dernier duc de Richelieu, mort sans descendance, lègue en 1930 le parc à l'Université de Paris, en souvenir du Cardinal, proviseur et grand restaurateur de la Sorbonne. Seuls subsistent aujourd’hui le Dôme (une partie des écuries, ancien manège pour les chevaux), l’Orangerie, les Caves, l’entrée principale ainsi que tout le tracé des canaux.

La Forteresse du faucon noir

Le potier, le cirier, le calligraphe, l’enlumineur, le frappeur de monnaie, le forgeron, le vannier, le bourrelier, l’herboriste, et le talmenier (boulanger) vous accueillent dans leurs échoppes et vous dévoilent leurs secrets grâce à leurs ateliers d’initiation… 

Une visite que je vous conseille si vous passez dans notre région.

Et pour le côté histoire

La forteresse de Montbazon fut édifiée à partir de 991 au sommet d’un éperon rocheux dominant le cours de l’Indre. Foulque III Nerra s'empara du lieu  pour y  construire dans un premier temps une motte castrale, un donjon en bois sur une butte de terre, le donjon en pierre ne viendra qu’un peu plus tard. Cet ensemble fortifié constitue l’un des plus anciens châteaux féodaux en France. 

Le donjon était une tour massive de 36 m de hauteur à l’origine (26 à 28 m aujourd’hui), les murs d’une épaisseur de 3 m à leur base et 2,5 m en haut de l’édifice, 20 m de long sur 15 m de large. Les façades sud et est sont pourvues de contreforts. Il était composé d’une cave et de trois étages, en bois, installés selon la hiérarchie « nobiliaire » (les nobles en haut). Il était surmonté d’un toit à quatre pans. On y entrait par une porte, côté nord, située à 6m50 du sol, grâce à une échelle ou une rampe.

Je vous laisse découvrir le reste...